đŹđ§ Un ultimatum diplomatique qui inquiĂšte plusieurs capitales africaines
Le Royaume-Uni a annoncĂ© une possible restriction de visas Ă lâencontre de trois pays africains : lâAngola, la Namibie et la RĂ©publique dĂ©mocratique du Congo.
Londres reproche Ă ces Ătats leur manque de coopĂ©ration dans le rapatriement de ressortissants en situation irrĂ©guliĂšre.
La ministre de lâIntĂ©rieur, Shabana Mahmood, a donnĂ© un ultimatum dâun mois, menaçant de limiter dâabord les visas touristiques, puis les visas premium, jusquâĂ un gel total si aucune amĂ©lioration nâest constatĂ©e.
Cette dĂ©cision sâinscrit dans une rĂ©forme plus large du systĂšme migratoire britannique, visant Ă accĂ©lĂ©rer les expulsions et Ă durcir lâaccĂšs Ă lâasile.
đ Tensions diplomatiques et inquiĂ©tudes sur le continent africain
Cette annonce suscite dĂ©jĂ des rĂ©actions sur le continent africain, oĂč certains y voient une pression diplomatique disproportionnĂ©e.
Une telle mesure pourrait avoir des conséquences importantes pour :
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les diasporas,
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les étudiants,
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les acteurs économiques concernés.
Pour lâheure, les gouvernements visĂ©s nâont pas rĂ©agi officiellement, mais lâultimatum de Londres ouvre une pĂ©riode de tensions potentielles entre le Royaume-Uni et ces trois pays africains, dans un contexte international dĂ©jĂ trĂšs sensible sur les questions migratoires.
đïž Par Max
Diplomatie migratoire et pressions internationales
La dĂ©cision du Royaume-Uni dâimposer des restrictions de visas Ă trois pays africains sâinscrit dans une logique de fermetĂ© migratoire.
Cependant, cette pression diplomatique pourrait fragiliser les relations bilatĂ©rales, affecter les mobilitĂ©s Ă©tudiantes, Ă©conomiques et sociales, et renforcer la perception dâun dĂ©sĂ©quilibre dans les rapports Nord-Sud.
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