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La maison»Actualité»La Banque africaine de développement dépasse rapidement ses objectifs en matière de financement climatique

La Banque africaine de développement dépasse rapidement ses objectifs en matière de financement climatique

smithPar smith23/04/20249 Minutes de Lecture
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Le président du Groupe de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina, a appelé, jeudi, à une action plus urgente alors que le changement climatique continue de faire des ravages dans de nombreux pays africains.

M. Adesina s’exprimait lors d’une table ronde de haut niveau sur le financement climatique, organisée par le vice-ministre britannique des Affaires étrangères et ministre d’État au Développement et à l’Afrique, Andrew Mitchell, et la ministre allemande de la Coopération économique et du Développement, Svenja Schulze, à l’occasion des réunions de printemps du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale.

Le président du Groupe de la Banque africaine de développement a déclaré que la sécheresse dévastatrice qui sévit actuellement dans plusieurs régions d’Afrique soulignait la nécessité pour toutes les parties prenantes de s’unir pour accélérer le soutien et le financement en faveur du continent africains.

« L’Afrique est dans l’œil du cyclone du changement climatique, comptant neuf des dix pays les plus vulnérables au changement climatique dans le monde (…) Mais l’Afrique n’obtient pas ce dont elle a besoin pour s’adapter au changement climatique. L’Afrique n’a reçu que 30 milliards de dollars par an pour l’adaptation au climat, alors que ses besoins s’élèvent à 277 milliards de dollars par an, ce qui crée un énorme déficit de financement », a expliqué M. Adesina.

La Banque africaine de développement a augmenté son financement climatique et dépasse ses objectifs en la matière pour les pays africains. La Banque a lancé plusieurs innovations pour mobiliser des ressources qui contribueront à accroître le financement climatique. Elle a notamment procédé récemment à une émission de capital hybride de 750 millions de dollars sur les marchés mondiaux de capitaux, la première opération du genre pour une banque multilatérale de développement. Cette initiative a été sursouscrite à hauteur de six milliards de dollars.

Le Projet de développement inclusif et durable du secteur céréalier en Tunisie a été sélectionné par le gouvernement britannique comme projet normatif dans le cadre de la transaction Room to Run Sovereign (R2RS). Jusqu’à 250 000 producteurs de céréales tunisiens bénéficieront de ce projet, renforçant leur sécurité alimentaire et leur autosuffisance.

La transaction Room to Run de la Banque africaine de développement, dotée d’une garantie de deux milliards de dollars du Royaume-Uni, a permis de débloquer deux milliards de dollars supplémentaires que la Banque consacrera au financement climatique.

M. Adesina a indiqué que la Banque africaine de développement tenait ses promesses. « La Banque africaine de développement s’est fixée pour objectif de consacrer 40 % du total de ses financements au financement climatique. Nous avons constamment dépassé cet objectif au cours des trois dernières années pour atteindre 55 % en 2023 », a-t-il précisé.

Lors de la table ronde sont intervenus le président du Groupe de la Banque mondiale, Ajay Banga, la Première ministre de la Barbade, Mia Mottley, le PDG du Centre mondial pour l’adaptation, Patrick V. Verkooijen, le président de la COP 29, Mukhtar Babayev, et les ministres de l’Allemagne, du Royaume-Uni, du Malawi, du Kenya, de l’Uruguay, de la Norvège, du Vanuatu et du Bangladesh. Des dirigeants de la Banque asiatique de développement, le secrétaire exécutif de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), Simon Stiell, et la directrice exécutive du Fonds vert pour le climat, Mafalda Duarte, ont également pris la parole.

La réunion a souligné un besoin urgent de partenariats et de collaboration pour fournir des financements climatiques aux pays qui en ont le plus besoin, y compris le renforcement des capacités dans ces pays pour mieux utiliser ces fonds, développer des projets bancables, et soutenir les petits exploitants agricoles.

Le président du Groupe de la Banque mondiale, Ajay Banga, a encouragé les parties prenantes à rester déterminées à aller de l’avant malgré les frustrations existantes. « La première chose à faire est non seulement de lever des fonds, mais aussi de renforcer la capacité des pays à obtenir des projets bancables et à les mettre en œuvre. Nous devons trouver les moyens d’aider les pays à acquérir des connaissances », a-t-il appelé.

Le Guichet d’action climatique soutient les pays les plus vulnérables d’Afrique

En réponse aux appels à une réforme de l’architecture financière mondiale, Akinwumi Adesina a déclaré que la Banque africaine de développement avait innové et créé le Guichet d’action climatique dans le cadre de la 16e reconstitution des ressources du Fonds africain de développement. Il l’a décrit comme « une première dans le paysage des banques multilatérales de développement ».

Doté d’un financement initial de 429 millions de dollars provenant des partenaires du développement que sont l’Allemagne, le Royaume-Uni, les Pays-Bas et la Suisse, la Banque africaine de développement prévoit de porter ce montant à 13 milliards de dollars.

« Le Guichet d’action climatique fournira un appui direct aux pays à faible revenu et aux pays les plus vulnérables en matière d’adaptation au changement climatique, d’atténuation de ses effets et d’assistance technique. Le premier appel à propositions pour l’adaptation a suscité quatre milliards de dollars de projets, soit dix fois le montant total de la facilité, ce qui confirme la demande massive de financement pour l’adaptation de la part des pays », a affirmé M. Adesina.

Akinwumi Adesina, président du Groupe de la Banque africaine de développement (à droite), a déclaré que le Guichet d’action climatique du Groupe fournira un appui direct aux pays à faible revenu et aux pays les plus vulnérables en matière d’adaptation au changement climatique, d’atténuation de ses effets et d’assistance technique, et que le premier appel à propositions pour l’adaptation a suscité des projets d’une valeur de 4 milliards de dollars, soit dix fois le montant total de la facilité.
Afin de tirer davantage parti du financement climatique, le Programme d’accélération de l’adaptation en Afrique, programme phare de la Banque africaine de développement et du Centre mondial pour l’adaptation (GCA), mobilise 25 milliards de dollars en faveur de l’adaptation au changement climatique. Il s’agit du plus grand programme d’adaptation climatique au monde.

Les intervenants à la table ronde ont décrit la situation comme étant désastreuse et ont souligné le besoin urgent pour les parties prenantes de travailler de manière plus collaborative et de concert. Cela suppose une planification, des politiques et des partenariats tournés vers l’avenir et dirigés par les pays, afin de maximiser le soutien et le financement climatique fournis par les institutions financières et le secteur privé.

Le secrétaire d’État au Trésor national et à la planification économique du Kenya, Njuguna Ndung’u, a appelé à un financement massif des programmes d’adaptation, soulignant le lien entre le changement climatique et le développement. « Nous devons également démontrer que nous avons des projets qui peuvent fonctionner », a-t-il dit, ajoutant que « le programme d’investissement du pays pour l’Intégration des énergies renouvelables (REI) permet aux gouvernements nationaux et à l’échelon national d’engager des ressources. Il nous aide à trouver des solutions nationales. »

Le ministre des Finances du Vanuatu, Jon Salong Dahmasing, a fait écho à ce message, soulignant le fait que les petits États insulaires en développement doivent constamment répondre à des situations d’urgence. Selon lui, cela les empêche de se concentrer sur les Objectifs de développement durable. « Nous sommes limités en matière de capacités, rendant difficile l’accès aux fonds, à moins que nous ne disposions d’un soutien en matière de capacités, y compris la capacité à réaliser des projets bancables et à accéder aux financements disponibles dans le monde entier », a-t-il soutenu.

Le ministre des Finances et des Affaires économiques du Malawi, Simplex Chithyola Banda, a parlé de l’impact du changement climatique et des catastrophes naturelles sur le développement. « C’est devenu l’ennemi du développement (…à La récente catastrophe, que nous avons subie, fait que nous avons besoin de financements climatiques. Dès qu’une catastrophe naturelle nous frappe, elle a un impact immédiat sur nos économies. Cela plonge un plus grand nombre de nos concitoyens dans l’insécurité alimentaire », a-t-il expliqué, en évoquant les catastrophes naturelles qui ont frappé le Malawi ces trois dernières années.

Doubler le financement de l’adaptation

S’exprimant plus tôt, le ministre britannique Andrew Mitchell a souligné l’urgence d’amener le monde à s’unir pour financer l’adaptation. Il a expliqué que l’adaptation nécessitait une attention particulière au niveau mondial, soulignant que les prochaines années seraient cruciales pour les pays en développement confrontés à des chocs naturels.

De gauche à droite : Andrew Mitchell, vice-ministre britannique des Affaires étrangères et ministre d’État au Développement et à l’Afrique, Akinwumi Adesina, président du Groupe de la Banque africaine de développement, et Patrick V. Verkooijen, PDG du Global Centre mondial pour l’adaptation.

Pour Andrew Mitchell, « nous devons collectivement tenir l’engagement pris lors de la COP 26 de doubler le financement de l’adaptation d’ici à 2025. Nous devons nous efforcer d’atteindre les objectifs de la COP26 (…) Nous constatons les effets dévastateurs du changement climatique dans les pays en développement. Les crises humanitaires sont de plus en plus fréquentes, et nous craignons qu’elles ne s’aggravent ». Il a indiqué, au cours de la table ronde, que le Royaume-Uni irait plus loin en triplant le financement de l’adaptation, dont la majorité se fera sous forme de dons.

La ministre allemande Svenja Schulze a décrit 2024 comme une fenêtre d’opportunité critique pour réformer l’architecture financière mondiale. « Le financement de l’adaptation requiert de toute urgence notre attention », a-t-elle exhorté.

La Première ministre de la Barbade, Mia Mottley, a fait écho à l’importance d’une approche collective et créative pour tirer parti des fonds considérables dont dispose la communauté mondiale, soulignant que « nous sommes engagés dans une course contre la montre ». Selon elle, il est temps de réaliser que les modèles obsolètes d’aide au développement ne sont pas appropriés pour relever les types de défis de développement auxquels sont confrontés aujourd’hui les pays du sud, car ils sont très différents de ceux qui existaient à l’époque où les institutions internationales de développement ont été créées.

Le PDG du Centre mondial pour l’adaptation (GCA), Patrick V. Verkooijen, a souligné l’urgence d’un financement mondial de l’adaptation ainsi que de plans d’investissement nationaux pour l’adaptation. « Replaçons les choses dans leur contexte. Les pays en développement ont besoin de 3 300 milliards de dollars pour financer l’adaptation au cours de la prochaine décennie, jusqu’en 2035. Le financement de l’adaptation doit quadrupler, non pas d’ici à 2035, mais aujourd’hui. Et si nous regardons l’Afrique, la situation est encore plus désastreuse (…) Notre message clé est simple : tout le monde doit investir davantage dans l’adaptation au climat, à l’échelle mondiale et en Afrique », a-t-il appelé.

M. Verkooijen a souligné les bons résultats produits par le modèle du Programme d’accélération de l’adaptation en Afrique, mis en œuvre conjointement avec la Banque africaine de développement et l’Union africaine : « Le Programme d’accélération de l’adaptation en Afrique doit se développer de manière exponentielle. Il doit tourner à plein régime ».

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