Cohésion sociale : KKB et l’UGTCI ont la même vision
La cohésion sociale profite à tous et toutes ! Ainsi le challenge de la réconciliation en Côte d’Ivoire est bien l’affaire de tous les citoyens ivoiriens.Conscient de cela ,Kouadio Konan Bertin ,le ministre de la Réconciliation et de la Cohésion nationale est sur tous les fronts.Et après les institutions, les chefs traditionnels et les ONG,le premier responsable de la réconciliation en Côte d’Ivoire a démarré ce mardi sa tournée chez les syndicalistes.
Et ce mercredi ,KKB était au siège de l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI) à Treichville. » Je suis venu m’abreuver à la sagesse syndicale .J’ai fait le tour des institutions, des chefs traditionnels, des ONG pour m’assurer que nous regardons dans la même direction. Maintenant, c’est le tour des syndicalistes », a-t-il dit aux lignes initiales de son propos.
Puis de poursuivre en appelant les syndicalistes à le rejoindre dans la quête de la cohésion sociale en Côte d’Ivoire.« Mon souhait est de vous associer à ce processus parce que vous avez de l’expérience. Nous n’avons pas le choix que de léguer à nos enfants, petits enfants une paix durable, une Côte d’Ivoire en paix . Cultivons la confiance entre nous et les choses vont aller de soi .Le processus de réconciliation a démarré et nous sommes dans la bonne direction », a-t-il déclaré dans APA avant de conclure.«Je suis venu vous solliciter. (…) Le foncier, qu’il soit rural ou urbain est à la base de plusieurs conflits. Il est au centre de cette thématique de la réconciliation et de la cohésion sociale ».
Soulignons qu’au cours de cette rencontre ,Dorgeles Adouwetchi Assémien,le premier Secrétaire général adjoint de l’Union générale des travailleurs de Côte d’Ivoire (UGTCI) a remis à Bertin Konan Kouadio dit KKB, la «contribution documentée» de sa centrale syndicale.Les autres centrales syndicales de l’intérieur qui forment avec celles d’Abidjan ,les cinq centrales du pays ,seront toutes visitées par le ministre de la réconciliation nationale et de la cohésion sociale.
Michaël KOUAKOU
