« La contribution de la Confejes dans la promotion de l’entrepreneuriat jeune dans la francophonie», c’est le thème abordé par Louisette Renée Thobi, Secretaire Général de la Conférence des ministres de la jeunesse et des sports de la francophonie lors de la tribune du Comité des médias pour la promotion de l’athlétisme en Afrique de l’Ouest ( COMPAAO) ce vendredi 4 juillet 2025.
Lors de cette conférence la patronne de la Confejes a présenté un tableau reluisant de son institution qu’elle gère. Elle a signifié la mise a disposition d’un programme particulier pour la promotion de l’entrepreneuriat jeune. A savoir, Le Programme de promotion de l’entrepreneuriat des jeunes (PPJE).
Un programme créé depuis 1989 qui a constitué un outil privilégié de la CONFEJES dans le domaine de l’insertion socio-économique des jeunes dans l’espace francophone. En effet, le PPEJ vise à favoriser la participation active des jeunes au processus de développement socio- économique de leurs pays. Ledit programme a également pour mission de promouvoir l’esprit d’entreprise chez les jeunes, de soutenir des initiatives pilotes dans le domaine de l’insertion sociale et économique des
Jeunes.
Louisette Rénée Thobi a réaffirmé le rôle très important de la CONFEJES joué pour le financement de projets innovants, avec des montants allant jusqu’à trois millions de francs CFA. Secteurs soutenus : textiles, agro-pastoral, numérique, entre autres. Ces initiatives ont pour objectif de stimuler l’autonomie et l’entrepreneuriat des jeunes dans les pays membres.
Selon, le Secretaire général depuis 2021, près de 518 projets ont été financés, avec la participation de 296 femmes, pour un montant global dépassant le milliard de francs CFA. Ces résultats illustrent l’impact concret de la politique de la CONFEJES en faveur de l’émergence d’une jeunesse active et entrepreneuriale.
Elle a également rappelé que les premières missions de la CONFEJES consistaient à former les formateurs, encourager l’insertion socio-économique des jeunes, et soutenir le développement d’une élite sportive francophone en Afrique. Elle a également évoqué le passage progressif vers de nouveaux mécanismes, notamment le projet double carrière sport-études.
M.K