La perpétuité pour les trois accusés !

Le procès des trois personnes accusées d’avoir « perpétré en 2004 le bombardement qui avait coûté la vie à neuf soldats français à Bouaké »,a connu son épilogue ce jeudi.La Cour d’assises de Paris a requis la prison à vie pour les trois mis en cause.

Il s’agit de Patrice Ouei et Ange Magloire Ganduillet Attualy deux ivoiriens et un Biélorusse du nom de Yury Sushkin.France 24 nous rapporte que les accusés ont été condamnés par contumace, car « introuvables depuis plusieurs années », ils ont été jugés en leur absence.« le bombardement est caractérisé par une volonté préalable d’aller bombarder le camp français… Des éléments montrent à l’évidence que la frappe est volontaire et dirigée contre le camp français… Décoller avec deux avions de guerre armés de roquettes me semble l’expression chimiquement pure de la préméditation »,a justifié l’avocat Général Muller.

C’est en novembre 2004 en pleine rébellion militaire que deux avions de guerre de type Sukhoï ,bombardent le camp militaire français de Bouaké après avoir mis en déroute les rebelles suite à des bombardements.Les frappes sur la base militaire française feront 9 morts.

Prodige M.